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Mélanie : « J’ai besoin du contact avec les candidats »
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Date de publication : 17 / 07 / 2023

Parlez-moi de votre rôle chez LCP Certification ?

Je suis Mélanie Estaque et je m’occupe de la partie surveillance. Au niveau du processus de certification, nous avons 3 parties surveillances. La surveillance n°1 est déclenchée 6 mois après l’obtention de la certification. Ensuite, il y a la partie CSO (contrôle sur ouvrage) qui arrive au bout des 3 ans de certification. Puis on déclenche la surveillance n°2 au bout des 5 ans de certification. 

Dans le détail, que faites-vous ?

Nous sommes deux à nous occuper de la surveillance puisque je travaille avec Sarah. Pour respecter la réglementation, il doit y avoir une surveillance documentaire. Autrement dit, le candidat doit nous envoyer des rapports dès qu’il va sur le terrain, pour que nous puissions les transmettre à des examinateurs. Ils seront chargés de les corriger. Moi, je suis sur cette partie-là.

Le processus de certification va évoluer, n’est-ce pas ?

Oui, notamment sur le DPE. Mais de notre côté, c’est surtout sur la partie audit énergétique que ça va bouger. Outre les surveillances déjà citées – n°1 et n°2 – nous lançons, de notre côté, une surveillance sur l’audit énergétique. C’est nouveau et on s’en occupe actuellement.

Comment les candidats réagissent-ils à cette surveillance ?

C’est compliqué parce que ce sont des choses nouvelles pour les diagnostiqueurs, donc cela génère forcément un petit peu de stress. Nous sommes aussi là pour les rassurer et pour les accompagner. C’est ce que nous faisons au quotidien et c’est normal. Ils en ont besoin.

Vous connaissiez déjà le secteur du diagnostic ?

Non, pendant 12 ans, j’ai travaillé dans l’hôtellerie-restauration, donc rien à voir. Alors pour moi, en arrivant, c’était un point d’interrogation. Je ne savais pas comment cela allait se passer. Dès mon arrivée, Sarah m’a formée, ça s’est très bien passé et j’ai immédiatement aimé tout ce que je découvrais. C’est très plaisant de découvrir toutes les parties du métier de diagnostiqueur.

Quelle est la partie de votre travail que vous aimez le plus ?

J’aime énormément le contact avec les gens. J’aime la partie administrative, mais j’ai besoin du contact avec les candidats. Nous sommes beaucoup au téléphone. Nous avons de nombreux appels dans la journée. Je sais qu’il y a des personnes que ça embête et ce n’est pas du tout mon cas, au contraire. De plus, nous sommes une structure assez familiale et c’est aussi ce qui me plaît. Nous pouvons être proches des candidats et les accompagner vraiment. C’est important et c’est d’ailleurs ce qui ressort de leur côté. Dans d’autres centres de certification, ils peuvent avoir l’impression de n’être que des numéros. Ma principale motivation, c’est de pouvoir les accompagner au mieux.